Le sol de la cave Pfister qui s’effondre d’un mètre au 105 de la Grande Rue à Besançon laissant voir des vestiges romains et voilà une vie transformée ! « Je compris que, sous nos pas, tous les siècles passés nous portent. C’est une de ses gloires : à Besançon, Rome est partout ! » note Pierre Pfister, né en 1895, et alors âgé d’une dizaine d’années.
Ordonné prêtre, il réalisera des moulages dans les catacombes romaines, ramenés ensuite à Besançon. L’exceptionnel trésor est aujourd’hui exposé au Centre diocésain.
Cette aventure a été l’occasion d’un colloque animé par des universitaires qui ont recherché à travers les disciplines et les époques, Rome à Besançon, mais aussi Besançon à Rome.