Depuis juin 2015, la ville portuaire de Cadix, en Andalousie, est gérée par une des figures de l’aile anticapitaliste de Podemos, José María González dit « Kichi », qui s’appuie sur deux coalitions municipales du changement. Cet article dresse un premier bilan des politiques municipales menées depuis trois ans. Si la priorité a été clairement donnée aux questions sociales, la mairie se heurte aux problèmes structurels d’une des villes les plus touchées par la crise économique et le chômage.